• La SaintéLyon – Samedi 01 décembre 2012 (minuit)

    Autant annoncer la couleur de suite : je n’ai pas fini la course ! J’ai abandonné ! « J’ai bâché » comme on dit dans le jargon.
    Mon premier, ça fait mal ! C’est compliqué à gérer, à vivre, mais quand le corps parle, il faut savoir l’écouter !
    C’est ma philosophie et ma devise de ce merveilleux sport, « ne prendre que du plaisir et être à l’écoute de mes sensations sans jamais me faire violence ».
    Pourtant tout était réuni pour faire une belle course, la dernière de l’année 2012 pour soutenir l’Association François Aupetit – www.afa.asso.fr
    Les amis, une bonne préparation, le soutien de mon entourage, une motivation sans égal, la météo et mon objectif de collecte de dons pour l’afa était atteint, je ne pouvais rêver mieux pour cet ultime défi...

    La « Sainté » c’est 70 bornes, un départ à minuit, un tracé dans les Monts du Lyonnais reliant la ville de Saint-Etienne à celle de Lyon et un besoin de bien des ressources tant le profil et variant. Une course très populaire avec cette année près de 12000 participants (toutes formules confondues) et 6000 sur le solo !!

    Pour en savoir plus sur cet événement, je vous laisse lire mon article (« SaintéLyon – Dernier défi 2012 pour soutenir l'association afa.asso.fr »)

            

    Les dernières tendances météorologiques avant la course nous présumaient d’entrevoir l’option « trail blanc » comme ce fût le cas en 2010, un vrai régal en ce qui me concerne, donc une belle course en perspective et en somme un vrai trail ! Cependant, quelques contrariétés de la vie et une belle chute lors d’une sortie de nuit m’ont conduit à un repos forcé de quinze jours avant la nuit « N ». Bien mal en point, je suis allé voir Patricia Bourgeois pour une séance de Biokinergie*, 4 jours avant la course. J’avoue que c’est tout de même pratique d’avoir un tel réconfort à quelques mètres de la maison. Remis sur pieds et en excellente forme, je pouvais enfin me concentrer sur mon seul objectif « chrono » de l’année. Une fois n’est pas coutume, j’avais décidé de faire la course et m’étais fixé la barre des 7h30.
    L’exercice est périlleux après cette pause obligatoire mais c’était l’occasion de mettre en application toutes ces heures passées sur la piste d’athlétisme, les marches d’escaliers, les séances de côtes, etc. Bref je me lançais une nouvelle fois dans l’inconnu et pour preuve, je ne suis vraiment pas adepte de ce type d’objectif comme vous avez pu le constater tout au long de cette année avec mes récits de courses.
    Quoi qu’il en soit je suis avec Richard, Joël, Cédric, Raymond, mes amis du club de Courir à Saint Alban de Roche, et nous nous préparons tranquillement dans la bonne humeur avant d’aller affronter ce froid hivernal.

    Entre temps, j’en profite pour retrouver Morgan, alias Eponyme sur la toile et nous faisons connaissance. C’est toujours très sympa et enrichissant de rencontrer en vrai les gars que l’on côtoie par blog interposés.
    Plus tard, l’ami Raymond vient me chercher pour que l’on commence à faire chauffer la machine car le départ va être plus rapide que d’habitude, course oblige ! Nous sortons du Parc des Expo et je suis aussitôt saisi par le froid, un vrai choc thermique. Mon corps se contracte, je claque des dents. Nous nous échauffons une bonne vingtaine de minutes et retournons à l’intérieur afin de souhaiter une bonne course aux amis du club et d’internet.
    Nous prenons ensemble la direction des sas. J’ai pris l’option sas n°1 (objectif temps : entre 5 et 7h) afin d’être le moins gêné possible dans les engorgements.
    Il y a énormément de monde aux alentours des sas et comme à mon habitude (très mauvaise d’ailleurs), je me retrouve tout seul, disparus les copains !
    Je me place, je suis relativement proche de l’arche de départ et le sas « élite » est juste devant. Je cherche une dernière fois autour de moi le Raymond, en vain. La concentration est de mise, une dernière photo et je range mon appareil. Derrière, c’est noir de monde, impressionnant !

               

    A quelques secondes du départ, une main se pose sur mon épaule, il est là, tout sourire mon Raymond ! Je suis boosté à fond, je suis prêt, ça va le faire !
    Les frontales commencent à s’allumer, les dernières paroles au micro laissent place au décompte...

    GO, c’est parti pour l’aventure !

    Devant, ça part vite et le peloton s’étire rapidement. Toutefois, au vu de cette foule de coureurs, nous restons quand même extrêmement « massés ». Les trous sont vite comblés par les coureurs et à cet instant l’image du départ des Templiers résonne dans ma tête. Le Raymond me chope alors la main, nous mettons le clignotant à gauche et banzaï !
    Nous attaquons avec une belle portion de bitume, les chaussures claquent à l’unisson sur le sol et pas un mot ne sort de nos bouches, l’énergie doit être préservée au maximum pour arriver au bout de ces 70km, sympa l’ambiance... Nous trouvons notre allure de croisière mais dès lors que la pente s’élève un peu plus, Raymond arrête les frais et me dit de filer. Je suis là pour faire ma course, essayer de coller à mon objectif et on savait déjà avant de partir que nous ne pourrions pas faire la Sainté ensemble, alors je le salue, lui souhaite une bonne nuit et bille en tête je repars de plus belle. Je cours tranquille dans toutes les montées, je relance sur le plat et gère au mieux les descentes afin d’économiser le plus possible les cuisses et bien entendu sans perdre trop de temps. Autour de moi, quelques coureurs s’inquiètent de l’allure livrée depuis le départ, certes c’est assez rapide et loin de mes temps habituels mais c’est ok pour moi, nous sommes à environs 14km/h de moyenne.
    La ville est déjà loin derrière, toutes les frontales brillent, c’est féérique. Très vite les sentiers sont totalement recouverts de neige, de verglas, nous sommes en plein désert blanc, je prends mon pied, c’est top !!
    Je bois régulièrement afin d’anticiper les coups de moins bien mais ne mange rien de solide car je sais que les ravitos sont bien fournis et plutôt bien répartis tout au long du parcours. Pour l’instant je me régale, je suis concentré, les jambes sont là et je négocie au mieux les pièges d’un trail blanc. C’est beau, je me sens bien, même si le cardio à tendance à être élevé.
    Nous arrivons à St Christo-en-Jarez, le premier ravitaillement et déjà 16km de parcourus en 1h24, je pointe à la 384ème place, une belle performance pour moi. Je prends quelques brèves minutes pour m’alimenter et faire redescendre le rythme cardiaque. La sortie de la tente est frigorifique et une belle montée nous accueille dans laquelle je finirai de grignoter quelques tucs pris au ravito. Les gens sont venus en grand nombre nous apporter leur soutien, leur réconfort malgré des températures où il ferait bon rester tranquille chez soi au coin du feu. Parmi la foule, j’entends, ici et là, parler de température et les avis sont plutôt partagés entre les -8° et les -10°. Depuis le départ, tout va bien, je ne ressens pas le froid mis à part les quelques bourrasques de vent qui nous rappellent tout de même que nous sommes bien au mois de décembre ! Me voici donc reparti tambour battant en quête de mon chrono !
    Quelques kilomètres plus loin, les chemins se font de plus en plus difficiles, il y a de la poudreuse en veux-tu en voilà, les appuis sont très fuyants et je m’aperçois que je suis en train de laisser pas mal de jus dans cette histoire. Nous sommes tous en file indienne et il m’est impossible de courir. J’opte donc pour la marche rapide mais le froid commence à me saisir du fait que je bouge moins.
    Nous passons à côté d’un groupe ayant fait un immense feu de joie, le crépitement du bois claque fort dans cette immensité blanche et casse le silence de la nuit. Les flammes me réchauffent en un seul coup, c’est un moment de bonheur total. Les conditions sont très dures, j’ai de plus en plus de mal à relancer sur les portions planes et mon enjambée s’est réduite, mes hanches, mes jambes comment à dérouiller sévère !!! Je contrôle ma vitesse qui, pour coller à mon objectif devrait se situer au alentour des 12.5km/h, mais là c’est tout juste un 10km/h qu’affiche l’écran de ma montre, l’objectif chrono en prend un coup en même temps que le moral...
    Plein de questions me turlupinent depuis un moment, il est l’heure de faire un point sur mon état, en étant honnête avec moi-même, savoir où j’en suis exactement ?! Et bien, ce n’est plus franchement la grande forme ! Le froid me guette, le cardio s’emballe dès que je relance la cadence et mes jambes ainsi que mes hanches commencent à donner de sérieuses indications de fatigue. J’essaye de me calmer, de me ressaisir et de me centrer sur des pensées positives. Tout y passe, ma Sarah, la famille, les amis, l’association pour laquelle je cours, tous les bons moments de cette année, je me concentre sur des images fortes, j’essaye même des techniques de respiration. Mais il faut me rendre à l’évidence, mon capital santé/moral a pris cher, je n’y suis plus, je suis ailleurs.
    Tout devient alors plus difficile et pénible, mes relances n’ont plus de pêche et je sens mon visage fermé, ça doit être ça « être dans le dur » ! Tant pis, je me dis que faire la course au chrono n’est pas pour moi mais tout n’est pas terminé pour autant, je finirai la course, je la finirai pour ma Sarah, je la finirai pour l’afa ! Un bref moment d’enthousiasme me reprend, j’en profite alors pour recommencer à trottiner mais le froid à gagné du terrain sur moi, c’est laborieux ! Je coupe tout, m’arrête en pleine descente, je dois me créer un moment à moi, un aparté dans la course, un moment de bien-être. Je sais, je vais enfiler ma deuxième paire de gants et ajouter mon coupe-vent, ça me fera le plus grand bien et me re-boostera ! Cependant, le fait de m’arrêter me fige sur place, c’est un grand moment de solitude. Mes doigts, mes bras sont raides, engourdis, je n’ai plus de sensations et passer une simple paire de gants me prend un temps fou, j’abandonne l’idée d’ajouter ma veste, de toute façon je ne peux pas, je suis gelé par le froid ! A dix mètres de moi, se trouve le sentier sur lequel j’ai pu voir un nombre incalculable de coureurs me dépasser. Pour m’aider à décoller, j’utilise toutes mes forces, du moins ce qui me reste et prends en marche un petit groupe mais très vite je les laisse filer car je suis tout simplement incapable de suivre leur allure. Mes pas ne sont pas rapides mais c’est toujours ça, je prends ! Je suis tombé très bas physiquement et prie pour ne pas me vautrer sur les plaques de verglas qui jonchent le sol. Mon corps étant complètement raidi de tout son long, il se briserait en percutant le macadam.
    Une descente arrive, je sais que le ravito de Ste-Catherine n’est plus très loin et il me permettra de reprendre des forces pour la suite de la course.
    Désormais, la poudre blanche à laissé place à de la boue noire et collante, les baskets s’enfoncent jusqu’aux chevilles et le jus glacé vient combler l’espace entre mes orteils. Ce n’est plus une partie de plaisir et chaque sensation due à un nouvel incident me remonte jusque dans la colonne. Parmi cet enfer, viennent me soulager la vue des arbres emmitouflés de leur épaisse couche de neige, c’est splendide, ça me calme, ça me fait du bien.
    Au détour d’un virage et sans m’en apercevoir, j’arrive à Ste-Catherine. Enfin du réconfort ! Il est 2h53 du matin et mes déboires mon recalé à la 628ème place. J’entre sous le chapiteau, l’effervescence et le brouhaha me saoulent, je suis totalement anesthésié par le froid, j’ai les traits tirés par ce que je viens de subir et pourtant ma seule préoccupation est de repartir au plus vite vers Lyon. Je remplis rapidement ma gourde et mange tout ce qui me tombe sous la main, je ne suis plus tout à fait lucide. Après ces quelques minutes de trêve avec moi même, je repars, mais le froid me pénètre comme jamais et mes jambes me disent « non », je fais demi-tour, au chaud.
    Je reprends mes esprits petit à petit, tout en faisant les cent pas pour déverrouiller les articulations et tenter de me réchauffer.
    Cela fait maintenant un gros quart d’heure que je zigzague entre les coureurs, ils vont me prendre pour un dingue, pourtant il va falloir que j’y retourne mais je ne suis pas prêt. Une voix, un visage entre à son tour sous la tente, l’ami Raymond ! Quel soulagement, le réconfort qu’il me fallait ! J’ai une petite mine, le moral à zéro mais je sais que si je continue et reste avec lui, je passerai les portes du Palais des Sports de Lyon. Il est surpris de me voir ici et je lui fais part de mon état. Il se restaure en vitesse et ensemble nous basculons dans la froideur de la nuit. A peine sortis, Raymond me distance en marchant, pourtant nous avons fait tout juste qu’une cinquantaine de mètres mais c’est trop dur, mes jambes sont raides, mes hanches sont complètement verrouillées, tétanisées et surtout je suis transi de froid, je panique. Raymond revient à ma rencontre et trouve les mots justes afin de m’épargner une agonie de 42 kilomètres. J’en ai gros sur le cœur, je l’embrasse, lui souhaite une bonne fin de course et me retourne encore vers ce maudit chapiteau, j’ai les larmes aux yeux.
    Tout s’effondre dans ma tête, des tas de questions se bousculent, pourquoi maintenant ? Pourquoi pour ma dernière course ? Sacré cadeau de noël ! Désolé Sarah, désolé l’afa... j’ai échoué !

    Je rends ma puce et me dirige dans le bus, non sans douleurs, qui nous reconduit à Lyon. Là-bas, je récupère mon sac et file prendre une douche salvatrice, les bobos de pieds, je les traiterai à la maison.
    Je rejoins le Palais des Sport où règne une ambiance survoltée, normal dans quelques instants, Emmanuel Gault, le vainqueur de cette édition de folie, franchira la ligne d’arrivée, bravo ! Chez les femmes c’est Catherine Dubois qui passera l’arche la première, respect !

    Après 5h30 de grand n’importe quoi, je me pose enfin dans les gradins du Palais et contemple l’arrivée de mes ami(e)s du club et d’internet, avec une profonde amertume.
    Bravo à toutes et à tous d’avoir fini ou bien participé à cette course dantesque !

    Cette course, cette édition ne m’a pas sourit, c’est la vie, c’est comme ça ! Parfois, il faut savoir s’arrêter pour mieux repartir et ne pas se faire mal d’avantage. Le physique ne pouvait plus suivre et le moral était, de toute façon, très entamé. Je n’éprouvai plus aucune joie, ni aucun plaisir dans cette course, je n’avais qu’une seule alternative devant moi : l’abandon ! Ce n’est pas facile à vivre sur le moment, quand le sentiment d’échec vous envahit et quand le doute subsiste. Aujourd’hui, j’ai tiré les leçons de cette mésaventure, c’est derrière, ça fait partie de l’expérience et la vie continue !

    Merci à toi Raymond qui as su me résonner et me faire reconnaitre que j’étais arrivé au bout de moi-même.

     

    TEMPS DE PASSAGES

    PHOTOS

     

    La Biokinergie* (étymologiquement Bio = Vie, Kiné = Mouvement, Energia = Energie) est une technique de soins manuelle, très douce dans son application. Elle est pratiquée par des masseurs-kinésithérapeutes ou physiothérapeutes qui ont suivi une formation complémentaire de quatre ans au sein du CERB (Centre d'Enseignement et de Recherche en Biokinergie).
    Elle utilise comme moyens :
    . La normalisation du système énergétique chinois traditionnel par l’intermédiaire des points cutanés répertoriés
    . La libération des tensions myofasciales
    . La levée des microblocages articulaires.
    Elle agit essentiellement par voie reflexe.

    Pour en savoir plus :
    http://mk-biokinergie.com
    Ma praticienne :
    Mme BOURGEOIS Patricia – 80, montée du Bru – 38300 CRACHIER – Tel : 04.74.28.23.44


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  • Commentaires

    1
    Vendredi 18 Janvier 2013 à 20:48

    Quel récit de course, j'ai vraiment été pris dedans, bravo à toi, la météo était vraiment rude et cet abbandon ne veux rien dire pour moi, tu l'as fait et je suis certains que tu en tireras un bénéfice. Respect mon ami.

    2
    larsen de TdL
    Samedi 19 Janvier 2013 à 13:57

    Allez, c'est partie remise ...

    T'as quand même fait une sacrée saison ...

    @+ Larsen

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    3
    Lundi 21 Janvier 2013 à 08:41

    > Rohnny, Larsen: Merci très sympa les commentaires, j'apprécie  Je vous dis à très vite pour la saison 2013 !

     

    4
    Lundi 21 Janvier 2013 à 22:19

    Tu as eu raison d'arrêter. Si le plaisir n'y est plus, l'intérêt disparait. Restent la déception et le sentiment d'échec, qui seront balayés par des belles aventures à venir !

    5
    Mardi 22 Janvier 2013 à 08:53

    > Càp's : Merci à toi. Cela m'a effectivement beaucoup servi… J'ai travaillé dessus pendant ma coupure hivernale et ma motivation à parcourir les sentiers de montagnes sont encore bien plus grand et la vision de temps et chrono ont complètement disparu. 2013 va être une tout autre année avec de superbe course.
    Je mets en ligne mon calendrier de course 2013… au plus vite 

    6
    Mercredi 23 Janvier 2013 à 14:07
    Desperate RW

    Dur dur d'abandonner certes, mais il y a dans votre vie de runners des objectifs qui vous tiennent à coeur, pour lesquels vous êtes prêts et pourtant, le jour J, le moment M, tout bascule. Comme tu le dis, c'est derrière toi. Et cette expérience ne sera que bénéfique pour aborder tes prochains challenges!

    Alors Bon run et bon fun!

    7
    Samedi 26 Janvier 2013 à 11:21
    Alex L.

    Un joli récit même si la course a été plus dure que prévue.

    Mais c'est un peu pour ca aussi que l'on s'aligne sur de telles courses. Si on est sur de terminé, le charme n'est pas le même. 

    Et puis je suis sur que celà t'a appris beaucoup et que tu en ressortiras encore plus fort.

     

    A bientôt en Isère.

    PS: J'arrive le 12 février 

    8
    Lundi 28 Janvier 2013 à 08:55

    >Desperate RW: Merci pour ton bon message !

    >Alex: Thx! Effectivement, cela m'a permis de revoir ma vision sur "la course" en elle même (c'est pas pour moi) et renforce encore plus mon désir de savourer chaque pas, chaque foulées en montagne !
    En t'attendant, je vais aiguiser mes chaussures . Bon déménagement & Emménagement, A très vite ! 

    9
    Lundi 28 Janvier 2013 à 11:11
    Alex L.

    j'avais connu celà à l'Eco Trail où je m'étais mis la pression. Je m'y suis cassé les dents en finissant à plus de 2h de mon objectif et dans un sale état.

    Depuis je préfère les trails en montagne pour profiter de la beauté du paysage et sans me prendre la tête.

    A+

    10
    Mardi 29 Janvier 2013 à 10:57

    Salut, j'ai abandonné à ma première Saintélyon en 2008 et pensait que cette course n'était pas pour moi ... j'ai changé d'avis depuis !!

    Bonne année à toi et a+ sur les chemins ...

    yann

    11
    Mardi 29 Janvier 2013 à 23:20

    > Alex: 100% d'accord avec toi ! 

    > Yann: Meilleurs vœux également, c'est un grand honneur de te lire sur mon blog !! Merci de ton message et de ton retour perso sur la STL. Il ne faut pas rester sur un échec : je retenterai l'aventure STL, ça c'est sur. Au plaisir de te croiser.

    12
    fabrice38
    Samedi 2 Février 2013 à 14:49

    Super réçit, un de plus !!!

    Tu as bien fait de ne pas tirer encore plus sur la corde,

    Raymond m'a fait découvrir tes CR

    "Grâce à toi"  , je suis partant pour le TGC 2013 !!

    Au plaisir de te lire et de te croiser sur un trail.

    13
    Samedi 2 Février 2013 à 18:32

    > Fabrice38: Merci à toi ! Haaaaa le TGC une course MA-GNI-FIQUE, tu vas te régaler ça c'est sur !!  A bientôt.

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